Mme X. a souscrit cinq contrats d'assurance-vie au bénéfice, pour au moins quatre d'entre eux, de l'épouse de son frère, Mme Y. Le 21 juillet 2003, Mme X. a modifié la désignation des bénéficiaires de ces contrats au profit de deux de ses neveux, M. G. et M. J. Après le décès de Mme X., invoquant l'insanité d'esprit de celle-ci à la date de modification de l'identité des bénéficiaires, Mme Y. a fait assigner MM. G. et J., notamment en annulation de la (...)
Cet article est réservé aux abonnés